Nick of Time
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-14%
Le deal à ne pas rater :
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 – RAM 8Go/SSD 256Go
799 € 930 €
Voir le deal

Have you seen ... Eden in Hell? *

2 participants

Aller en bas

Have you seen ... Eden in Hell? * Empty Have you seen ... Eden in Hell? *

Message par Eden Ven 2 Juil - 13:28


••• Votre personnage
Nom & prénom •••



- Alors, à la dernière nouvelle cette jeune femme d’une vingtaine d’année se nomme Eden.
- Eden comment ?
- Marvel.
- Et c’est tout ?
- Non, Eden s’appelle aussi Wendy ainsi que Ambre.
- Pouvez-vous répondre en une phrase ?
- Parfaitement, cette jeune femme n’est autre qu’Eden, Wendy, Ambre Marvel.


••• Votre personnage
L'époque •••


- Eden est du futur …
- Quel futur ?
- Le futur de votre monde ?
- Comment pouvez-vous connaitre le futur de notre monde ?
- Car je suis du futur…
- De quelle époque je vous pris ?
- Née pendant l’ère Connor.
- Qui est Connor ? Et qui êtes vous ?
- Votre Futur …


••• Lorsqu’il passe
« de l’autre côté » •••


- Ce morceau de Terre qui vient avec elle n’est autre que sa demeure.
- Toute sa demeure ?
- Oui …
- Même le Jardin ?
- Oui…
- Et pourquoi ?
- Car vous posez trop de question.


••• Votre personnage
Son équilibre •••


- Bien… Vous pouvez me la décrire ?
- Comment ?
- Spirituellement et physiquement, elle est comment ?
- Et bien, elle n’est pas très grande, calme, optimiste, bilingue, gentille …
- Que de louange vous avez pour cette jeune femme. Elle m’a l’air de charmante compagnie.
- Détrompez vous, elle est aussi froide, coincé, exigeante, trop sérieuse, maniaque…
- Ah …


••• Votre personnage
Son histoire •••


Les histoires ont toutes un début et une fin et pourtant aucune d’entre elles ne se ressemble, savez vous pourquoi ? D’après mon père se serait à cause du temps. Notre destin changerait en fonction du temps qui s’écoule et qu’on ne peut retenir. Mon père était un grand cherche pendant l’ère Connor. Il habitait un petit cottage en province avec ma mère et mes deux sœurs avant que je ne vienne au monde. L’époque étant fructueuse, mes parents nous firent, mes sœurs et moi à la suite. Anne est l’aînée puis vint Isabelle et pour finir, moi, Eden. Mon enfance fut des plus agréable, étant enfant je ne me souciais de rien et je me contentée d’obéir sagement à mes aînés. Ma mère me disait alors que je n’avais aucun caractère, aucune envie … Je ne comprenais pas, je lui obéissais bien pourtant, pourquoi me disait elle cela ? Les années passèrent et les inventions de mon père se vendaient bien, si bien qu’il finit par rester coincé dans son laboratoire, obsédé par ses machines. Plus ses affaires allaient bien, plus il était absent alors que le laboratoire était dans notre maison. Il était devenu alors un étranger pour moi et pourtant je sentais qu’un jour nous avions vécu une grande complicité ensemble. C’est avec peine à l’époque que j’observais ma mère sur la petite terrasse, ses yeux étaient vide, son sourire n’était plus aussi rassurant ni aussi vivant qu’autrefois. Un matin, mes sœurs et moi trouvions un mot laissé sur la table de la cuisine. Mère avait préféré partir. Où ? Comment ? Avec qui ? Pourquoi ? Ces questions me torturaient la tête et restaient sans réponse. Me sentant délaissée, abandonnée, j’allais alors chercher immédiatement du réconfort prés de mon seul et dernier parent. L’homme de la maison, l’homme qui m’était depuis peu inconnu semblait alors reprendre sa place de père. Je sentais alors cette complicité renaitre de ses cendres, elle me poussait à descendre dans cette cave sombre pour sauter au cou de mon père en lui disant : « Papa ! On mange quand ? J’ai faim moi ! ». J’étais encore si jeune …

Arrivée à l’adolescence, les choses devinrent un peu plus compliquées. Mes sœurs étaient du genre fêtardes et aimaient le goût des nuits blanches. Je jetais alors la faute sur ma mère, si elle avait étés ici et si elle avait étés plus ferme avec mes sœurs, jamais nous n’aurions eu autant de problèmes avec elles. Mon père ne pouvant être à deux endroits à la fois, je remontais alors mes manches pour l’aider. Puisqu’il était avec ses machines sous la maison et que personne ne voulait ou ne pouvait entretenir celle-ci, j’allais le faire moi-même. Mes sœurs devaient elles aussi aider, alors nous nous arrangeâmes. Elles iraient faire les courses en ville pendant que je restais à la maison. Bien sûr elles avaient la tache la plus simple et la plus distractive, mais cela ne me dérangeais pas le moins du monde, bien au contraire. Oui, en vérité cela m’arrangeait même très bien car j’ai en horreur l’extérieur. Savez-vous combien de corps inconnus, de microbes et de bactéries se baladent en pleine liberté autour de vous à l’extérieur ? Rien que d’y penser, j’en ai la chair de poule. Les seules fois où je m’autorisais à sortir, c’était pour aller à mes leçons et j’étais toujours armer d’un paquet de mouchoir et de lotion désinfectante sur moi. Je ne sais pour quel raison exactement, mais j’avais l’impression d’être souiller à chaque fois que je touchais quelque chose. Immédiatement, l’envie de me laver et de m’éloigner de cette zone de microbes se fait alors sentir. J’étais une élève sérieuse, souriante, appliquée dans mes cours. Pour moi il n’y avait pas d’autre solution, puisque je devais étudier autant le faire correctement. Comme disait mon père, il y a un temps pour chaque chose et une chose à son temps. Tout était compter et je ne voulais pas perdre de temps à faire des choses inutiles et absurdes. Pendant que je travaillais encore mes cours et que j’entretenais la maison familiale, nous eûmes deux agréables nouvelles, mes très chères sœurs allaient se marier. Je pense qu’à cette époque je devais avoir dans les seize ou dix-sept ans. Pour leur mariage, mon père dépensa des sommes magistrales, il voulait que tout soit parfait. Je pense surtout qu’il voulait, pour une fois être le plus présent possible étant donné qu’il travaillait beaucoup et que notre mère n’était plus avec nous. Après cela, mes sœurs quittèrent le domaine familial, la vie devint alors bien calme chez nous.

Plus tard, après avoir passé le cap de la majorité et être entré dans la vie d’une étudiante, je me mis à passer un peu plus de temps dans le laboratoire avec mon père. Nous n’étions plus que deux à vivre dans cette maison, trois en comptant le vieux chat que j’avais surnommé boule de neige à cause de sa couleur blanche et de son ventre bien rond. Mes sœurs n’étant plus là, je du aller en ville pour faire les courses et aussi ramener des pièces étranges à mon père pour sa nouvelle invention. Il m’en avait touché quelques mots à ce sujet. D’après lui, si sa machine marchait, nous aurions une terre aussi pure et aussi parfaite qu’à sa naissance même. J’avais alors immensément du mal à imaginer la chose. D’un autre côté, il serait fort intéressant que grâce à cette machine, la Terre devienne aussi vierge et naturel qu’auparavant. Mais comment ferait-il cela avec cette boite métallique et sphérique ? D’après lui, si sa boule dépassé la vitesse de la lumière, il y avait une chose pour que le temps soit inversé et ainsi nous pourrions retrouver la Terre d’avant. C’était assez complexe à comprendre, moi-même je mis un certain temps à comprendre ce qu’il voulait m’expliquer. Il était si heureux de sa découverte que je ne me sentais pas de taille à l’embêter avec mes questions, alors je l’encourager chaque jour de plus en plus pour qu’il termine cette machine farfelue. Les jours, les nuits et les saisons passèrent sans qu’il ne puisse lancer sa machine. Il manquait toujours quelque chose ou la météo ne le permettait pas. En effet pour lancer à toute vitesse cette machine il fallait énormément d’énergie, alors mon père n’avait trouvé aucune autre solution que d’attendre les orages d’été pour lancer le mécanisme. Enfin le temps fut près et les objets manquant étaient maintenant présents, mais ce n’était pas la seule chose qui était présente… Mon père avait consacré toute sa vie dans ses machines et maintenant qu’il voyait enfin son rêve se réaliser, le temps le prenait en traitre. Il était vieux et le fait de rester dans cette cave à la porte de bon nombre de rayon en tout genre, sa santé n’était plus celle de ses jeunes années.

C’est alors qu’un soir, pendant l’âge d’or de l’humanité que sur son lit de mort, mon père me demanda de faire quelque chose pour lui. C’était bien la première fois que je le voyais si faible et pourtant, son sourire semblait si vivant… Certes il n’avait plus toutes ses dents, certes il était ridé et fatigué, mais il avait l’air si heureux. C’est donc après son dernier souffle que je descendis dans ce laboratoire, cave qui était le fruit de tous mes cauchemars. Boule de neige était avec moi, il descendait aussi prudemment que mon ses marches poussiéreuses. En haut, l’orage grondait, ce soir était le soir idéale, d’après les météorologues jamais nous eûmes, depuis longtemps, un orage si violent. Les dernières paroles de mon père furent : « Eden… Fait marcher cette machine pour moi… ». Ses mots résonnaient dans ma tête, serraient ma gorge, battaient mon cœur et me tordaient l’estomac. Je respirais alors un grand coup avant d’appuyer sur le petit bouton vert qui servait à sortir l’antenne sur le toit. Cette antenne devait conduire l’énergie de la foudre jusqu’à la machine. Elle était d’une hauteur démesurée et j’avais peur qu’elle ne casse sous le coup de la foudre, plus d’une fois elle avait cassé, alors si elle cassait une fois de plus … Prenant mon courage à deux mains, j’actionnais tour à tour les différentes manettes. Je me mis à sursauter plus d’une fois en entendant la foudre et une fois que tout fut lancé je fis face à la monstrueuse machine. Trois coups de foudre tombèrent, trois coups bruyants qui me firent me diriger dans un coin du laboratoire. J’étais faite comme un rat, si la machine prenait feu j’étais condamnée à périr dans les flammes avec elle. Les larmes me montaient alors aux yeux, recroquevillée sur moi-même j’essayais de me rassurer en me disant que tout allait bientôt s’arrêter et mon vœu fut exaucé. Une fois l’orage passé, je me dirigeai tremblante vers la plante morte qui servait d’expérience. Celle-ci avait l’air encore plus morte que morte … La machine n’avait, encore une fois, pas fonctionnée. Triste et déçu, je remontai auprès du lit de mon père. A ma grande surprise celui-ci n’était plus dans son lit, pourtant je l’avais bien vu raide quelques heures plus tôt. Inquiète je fis chaque pièce de la maison, chaque placards, chaque coin et recoin, j’en vins même à vérifier sous les lits. Pas une seule trace de lui… pas un seul bruit, cette maison me semblait encore plus vide que d’ordinaire. J’essayai de téléphoner, aucune tonalité, tout semblait avoir étés coupé par l’orage, cela ne m’étonna pas plus que ça. Fatiguée et ne sachant plus quoi faire ni quoi penser, j’appelais alors le chat à se joindre à moi dans le canapé du salon. La aussi aucune réponse … Que se passait il ?

De plus en plus inquiète, je vins enfin à la fenêtre pour observer l’extérieur. Il faisait nuit noire, il m’était alors impossible de voir quoique ce soit. Fatiguée et abattue je montais alors dans ma chambre pour me coucher. Mon père était surement retourné au laboratoire ou alors était il dans son bain ? Je n’en savais rien, mais puisqu’il n’était pas dans son lit, il était encore vivant. Après tout, les morts ne marchent pas. C’est au petit matin que j’eu une mauvaise surprise, alors que je m’apprêtais à aller dans le jardin pour voir l’antenne, je fus complètement choquer de voir que face à moi, tout avait disparu au dehors. Où était passé les sapins ? La végétation ? Les oiseaux ? Un frison me parcouru alors entièrement devant ma porte. Je me laissais alors tomber sur mes genoux, fixant ce vide, ce paysage qui m’était totalement inconnu. Où étais-je ? Hier encore je connaissais ce lieu… Qu’est ce que tout cela signifiait ? De nouveau je couru dans la maison, fonçant à l’étage pour trouver mon père, puis descendant au laboratoire pour voir la machine. Elle n’avait pas bougé, je regardais alors son circuit imprimé, celui-ci avait fondu alors il était normal qu’hier soir rien n’ai fonctionné. Que cela signifiait il ? Si la machine n’avait rien fait, alors qui ? Où était mon père ? Et le chat ? Portant alors ma main à ma bouche, je restais assise sur le sol songeuse pendant un long moment. Qu’était il en train de m’arriver ?

Eden
Eden

Messages : 11
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 31

Revenir en haut Aller en bas

Have you seen ... Eden in Hell? * Empty Re: Have you seen ... Eden in Hell? *

Message par Helena Shaw Ven 2 Juil - 22:17

Tout d'abord, je te souhaite la bienvenue parmi nous Eden.

Bon, suite à de tumultueuses modifications et autres edits en puissance, nous y voila enfin (comment ça j'exagère....><)

Ta fiche est passé de complexe à une fiche plus classique. Beaucoup plus classique. Est-ce un mal, en l'état évidemment que non, cette fiche est tout à fait validable, lui manquerait-il une petite pointe d'originalité peut-être, mais là je chipote forcément.

Je pense que le problème avec ta fiche précédente (qui t'a quand même valu un gros edit et pour cela, je m'en excuse), c'était qu'elle était "trop" original. Comme on dit, trop d'originalité tue l'originalité. Elle était confuse au mieux.

Maintenant, voila une histoire plus classique et plus compréhensive. Dommage qu'il n'y ait pas eu un p'ti compromis entre les deux styles, ça aurait pu être intéressant. Malgré tout, je ne trouve rien à redire à cette fiche, si ce n'est de faire attention à quelques petites fautes d'inattention sans grande importance. Et donc, je te valide et je te souhaite un bon jeu parmi nous.

Helena Shaw
Helena Shaw
Admin

Messages : 58
Date d'inscription : 28/01/2010
Age : 32

Revenir en haut Aller en bas

Have you seen ... Eden in Hell? * Empty Re: Have you seen ... Eden in Hell? *

Message par Eden Ven 2 Juil - 22:22

Mon originalité T.T ...

Mmmmh merci de la validation ~
Eden
Eden

Messages : 11
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 31

Revenir en haut Aller en bas

Have you seen ... Eden in Hell? * Empty Re: Have you seen ... Eden in Hell? *

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum